Le premier pas...[un vampire de préférence ^^]

Elu Nombre de messages : 81 Date d'inscription : 13/12/2008

Cela faisait à peine quelques heures qu’il était entré dans Paris. Il marchait peu sur de lui dans les rues qui pour l’instants étaient totalement vide. Ou…peut-être ne voyait-il pas les habitants de cette ville ? En attendant, il n’était pas très à l’aise. Ses yeux bleus fixaient constamment le ciel qui lui paraissait tellement plus terne que d’habitude. Il avait besoin du ciel et là, il se sentait mal à l’aise. Où était donc passé cette si belle couleur qu’il aimait observer ? Cette couleur qui était identique à ses yeux. Continuant de marcher dans les rues, il regardait à droite à gauche, sentant son tatouage le bruler avec force. Ca lui faisait mal, très mal, il avait l’impression qu’il allait s’embraser. D’ailleurs, c’était peut-être la seule chose qui lui faisait vraiment mal. Il avait faillit bruler vivant, il n’avait ressentit aucune chaleur. Il s’était renversé de l’eau bouillante sur les jambes et les pieds, rien non plus. Quelques fois il se demandait s’il n’était pas bizarre. Un fin soupire passa ses lèvres alors que, fatigué, il se laissa tomber sur un banc. Son regard fixant à nouveau le ciel. Se rappelant des péripéties qui l’avaient conduit jusqu’ici. D’ailleurs, il se demandait bien pourquoi ses pas l’avaient mené ici. Pourquoi n’était-il pas tout simplement resté dans la calèche, attendant que le Vatican vienne le chercher ? Pourquoi avait-il fuit pour finalement suivre cette voix qui lui hurlait que sa destiné était ici et nul par d’autre. Un nouveau soupir et, il se releva. Il avait faim, il fallait qu’il trouve un endroit ou manger. Enfin, une boulangerie ou tout autres magasins de ce genre. Recommençant à parcourir les rues, il ne croisa encore personne. Mais, par chance, il tomba sur un petit magasin. Enfin, c’est ce qu’il avait cru tout d’abord car, finalement, il n’y avait absolument rien à l’intérieur.

Où était-il donc tombé ? Dans une ville morte ? Une ville fantôme ? Il se le demandait bien. Finissant par se rassoir sur un banc, il se mit à réfléchir. Faire demi-tour, retourner dans la ville et le village le plus proche pour y rester et se reposer. Ou rester ici et mourir de faim. La première idée était beaucoup mieux mais, non, il ne pouvait par repartir. Ses pieds ne voulaient pas le guider autre part que dans cette ville. Pourquoi ? Qu’est-ce qu’il y avait ici pour qu’il ne puisse partir ? Il se releva et, il se mit en tête de trouver des personnes. Forcement qu’il y avait quelqu’un ! Cette ville si grande ne pouvait être vide. C’était impossible ! Pourquoi personne n’habiterais ici ne serait-ce qu’un prisonnier évadé de prison un clandestin et encore bien d’autre. Une ville de cette envergure et aussi vide était idéale pour se cacher. Reprenant son chemin. Ne sachant où aller, il marcha encore et encore. Et ce, malgré la fatigue qui pénétrait tout son corps. Il devait trouver quelqu’un…

Regardant tout autour de lui, il remarqua que les bâtiments se ressemblaient presque tous. Il remarqua que cette ville avait quelque chose de…terne…Il se demandait bien comment celle-ci avait pu être dans ses jours heureux. Il sourit doucement continuant sa marche. Combien de temps marcha t-il ? Combien de temps mit-il à trouver quelqu’un ? Il ne le su pas mais, lorsqu’il arriva à un croisement, il tourna à gauche et alors, il le vit. Plus loin dans la rue, il était là, au milieu de la route. Anael le regarda pendant plusieurs secondes. Ses yeux ciels ne voulant lâcher la personne qui était plus loin en face de lui. Il sentit alors son tatouage lui bruler alors qu’une chaleur intense pénétra tout son corps…Comme ce jour dans l’année de ses dix ans. Mais, contrairement au passé, il fit un pas en avant au lieu de s’écrouler. Il devait parler à cet homme, il devait lui demander pourquoi il n’y avait personne mais surtout, où il pouvait manger et dormir, il le devait mais, il était sur d’une chose…Vampire…Vampire…Ce n’était pas un humain. Non, ce n’en était pas un. Comment le savait-il ? Il n’en avait aucunes idées. C’était quelque chose qui remontait le long de sa colonne vertébrale, cette chaleur qui lui disait qui était cette créature. Depuis qu’il avait eu se tatouage, ils les reconnaissaient. Peut importe la race, il savait les différencier des autres. C’était bizarre mais, comme on le lui avait expliqué, il était l’Elu et, ce devait être pour ça…

Ses pas continuaient de le rapprocher du vampire. Il continuait de marcher vers lui. Allait-il rester ? Allait-il s’enfuir ? Anael n’en avait aucunes idées mais, il pensait qu’il resterait. Pourquoi ? Car il était humain et, il avait du sang…Oui c’était une raison un peu horrible pour lui mais, c’était comme ça. Les vampires se nourrissaient de sang. Anael en avait. Continuant d’avancer, il finit par s’arrêter à a peine un mètre de cet homme. Ses yeux plongeant dans les siens alors que d’un seul coup…tout son corps se tendis, il avait mal, trop mal…Une unique larme roula sur sa joue pour finir par tomber sur le sol. Comme lui, il s’écroula à genoux alors que la douleur se faisait de plus en plus forte. Son tatouage…C’était horrible…Pourtant, il ne ferma pas les yeux, il ne s’évanouit pas. Il se contenta de reposer son regard sur l’homme, le regardant doucement. Anael lui sourit alors qu’il comprit qu’elle était cette douleur qui envahissait son corps. Alors qu’il comprit pourquoi il avait mal…La balance lui demandait de juger. Non en faite, la balance lui montrait l’âme de cet homme. Il ferma les yeux, se laissant envahir par celle-ci pour finalement rouvrirent ses paupières. Se demandant si la douleur serait plus profonde encore face à d’autres créatures. Il frémit en pensant cela alors que ses yeux se posèrent à nouveau sur cet homme. Son corps encore brulant, son battant à tout rompre en sentant l’âme de cette personne. Anael ne comprenait pas à quoi il servait. Il ne comprenait pas le but de l’Elu mais, pour l’instant, il voulait une seule chose, trouver à manger.

- Je…savez-vous où je pourrais trouver du pain ?

Il avait demandé de sa voix douce et calme. Il avait demandé comme s’il parlait à n’importe qui. Son corps se calmant légèrement. L’âme, il venait de la comprendre sans pour autant comprendre. Il n’avait presque plus mal. Mais il ne comprenait plus rien. Son regard se posa à nouveau sur le ciel et sur cet homme…

Le ciel devenait de plus en plus gris et terne, se confondant avec les murs et le sol de cette ville abandonnée. La ville de sel méritait bien son nom, bien que « poussière » ou « cendre » aurait tout autant convenu. L’avantage avec un temps aussi exécrable, en tout cas pour les vampires, c’était qu’il n’y avait rien à craindre du soleil. Quelque part au dessus de ces nuages, il devait s’approcher de l’horizon. La seule différence visible du sol ne sera probablement qu’un ciel plus sombre de minute en minute.

Du toit de ce qui avait probablement été une belle maison auparavant, une étrange créature scrutait le ciel gris. Cette créature n’était autre qu’un vampire, mais celui-là ne correspondait pas vraiment aux idées reçues sur l’apparence des morts-vivants. Une légère brise faisait voler autour de son visage parfais des mèches blondes comme les blés, et ses yeux, aussi bleus que des saphirs, ne reflétaient aucune animosité. Il ne reflétait d’ailleurs aucune émotion, et ne révélaient rien de particulier sur l’âme de leur propriétaire. Le vampire blond se tenait aussi droit et raide qu’une statue au bord du toit, ne se souciant pas des mètres de chutes qui le guettait à quelques centimètres de là.

Dans le gris environnant la moindre tâche de couleur sautait aux yeux et, effectivement, quelque chose attira le regard du vampire. Quelque chose de vivant, qui se déplaçait dans les rues abandonnées, cherchant quelque chose ou quelqu’un. Armand, car c’était là le nom du vampire, songea que cet humain ne trouverait probablement personne sur son chemin. La ville de sel était un véritable désert. A par quelques combattants, personne ne venait s’ennuyer ici. Le vampire lui-même ne venait que très rarement, parfois pour son travail, parfois pour le « plaisir », lorsque la compagnie des autres le rebutait trop.

Il était étrange qu’un humain traîne par ici. Peut-être s’était-il « évadé » d’une ferme. Cela semblait hautement improbable, mais après tout certains humains étaient parfois plus malins que les autres. Ainsi le vampire prénommé Armand suivit-il la progression de l’humain du haut des toits, le surveillant du coin de l’œil. L’humain disparut alors dans ce qui avait été un commerce autrefois. Il était très probablement vide maintenant, et le jeune humain ne tarderait pas à en sortir déçu. Pendant ce court laps de temps où l’humain ne risquait pas de le voir, l’héritier De Vaudrel sauta du toit sur lequel il avait guetté le jeune homme, quelques rues plus loin. Il atterrit avec une souplesse toute féline et sans un bruit, soulevant un fin nuage de poussière autour de lui. Il se mit lentement en marche, dans la direction du bâtiment duquel l’humain devait être déjà ressortit. Le vampire prenait son temps, il doutait que l’humain lui échappe et, même si c’était le cas, il le retrouverait facilement.

Ce ne fut pas bien long avant que l’humain lui apparaisse au loin, après un croisement. Les deux, humain et vampire, s’observèrent quelques instants, immobiles. Armand se contenta d’un constat général, l’humain était blond aux yeux bleus, plutôt grand et mince. Le reste lui importait peu, du moment qu’il puisse le reconnaître. L’humain crut probablement avoir en face de lui un de ses semblables, car il avança, apparemment sans peur. Le vampire ne bougea pas, laissant l’humain venir à lui. Au fur et à mesure que l’humain s’approchait, Armand voyait qu’il n’était pas aussi détendu qu’il en avait l’air. Il semblait souffrir, bien que le vampire ne devina pas de blessure ni de bandage sous ses vêtements.

L’humain arriva en face de lui, il semblait tourmenté par la souffrance, et il mit quelques instants avant de poser sa question. Le vampire ne répondit pas immédiatement. Il trouvait quelque chose d’étrange chez cet humain, mais il n’aurait su dire quoi. Il finit par répondre à l’humain, de la voix grave et basse qui était la sienne :

- Tu ne trouveras rien de tel ici…

Et c’était la vérité. Dans le quartier gris les humains comme lui ne trouvaient rien d’autre que la mort, et elle était rarement douce.

Elu Nombre de messages : 81 Date d'inscription : 13/12/2008

Combien de temps avait-il marché pour trouver à manger ? Il ne le su pas, il ne le saura surement jamais. Mais, la fin et la fatigue se faisait de plus en plus présente. Pourtant, Anael continuait de marcher dans les rues désertes, dans ces rues où le ciel était caché, terne, si terne... Son regard se posait tout autour de lui alors que ses jambes le guidaient inconsciemment vers cette personne qu'il n'avait pas encore vu ni croisé. Il marchait juste à la recherche de nourriture enfin, c'est ce que disait sa raison car, sous son cœur, un tatouage s'était doucement mit à scintiller. Il sentait la présence de cette personne, il sentait la présence du vampire. Mais, Anael ne le sentait pas, non, il ne comprenait pas encore suffisamment cette chose pour la sentir scintillé, pour comprendre qu'elle lui indiquait un chemin. Alors, inconsciemment, ses pas le guidaient vers là où il devait aller. C'est à un croisement où il croisa cette silhouette au loin, ou ses yeux se posèrent sur cet homme et où, tout son être lui cria...vampire, vampire...Anael sentit une sourde douleur se propager dans son cœur et son corps. C'était douloureux, insupportable, il avait l'impression que tout son coeur se faisait transpercer de part en part, c'était...Il aurait pu s'évanouir sous la douleur, il aurait pu tomber comme il l'avait fait durant l'année de ses dix ans mais, non, il ne le fit pas. Car, il était devenu plus fort. Car, petit à petit son corps comprenait, sa raison comprenait. Pour l'instant, Anael n'était qu'au début de cette compréhension. Qu'avait-il comprit ? Tout simplement que cette douleur sourde et vile était l'âme de cet homme, son tatouage analysait l'âme de cette personne. Une âme qu'il devrait juger, oui, surement mais, Anael ne comprenait pas, non, il ne comprenait pas...

Continuant d'avancer vers le vampire, Anael se stoppa devant lui, la souffrance s'évaporant peu à peu. Il venait de la comprendre. L'âme, il venait de la comprendre et pourtant, il ne savait aucunement ce que cela voulait dire. C'est d'une voix douce et calme qu'il finit par demander à la personne s'il ne savait pas où il pouvait trouver du pain. Il avait vraiment faim. Souriant doucement, ses yeux allèrent se poser sur le ciel pour finalement se reposer sur le visage du vampire. Le détaillant délicatement sans pour autant être impoli ou grossier. Il était beau, son visage fin, ses yeux d'un bleu très beau et ses cheveux d'un blond magnifique. Anael n'aurait pas imaginé un vampire comme ça mais, chacun son physique non ? Ce qui le heurta le plus c'est que d'un côté, il lui ressemblait enfin, ils étaient tous les deux aux yeux bleus. Rien de bien étonnant non ? Alors pourquoi quelque chose n'allait pas ? Peut-être à cause de la voix qui venait d'envahir l'air. Elle, il frissonna. Il ne l'aimait pas, même pas du tout. Mais, ce qui lui plus encore moins fut la réponse de cet homme. Alors il n'y avait rien à manger ici enfin, pour lui car...Il s'imaginait parfaitement quel sort on pouvait réserver à un humain qui se promenait dans une ville surement pleine de vampire ou créatures en tout genres. Il frissonna à nouveau alors qu'inconsciemment, il fit un pas en arrière. Finalement, il allait peut-être retourner dans une ville qui se trouvait non loin de celle-ci. Il avait peur, pourquoi d'un seul coup la peur l'envahissait comme cela ?

La douleur, la douleur refit surface en même temps que la peur. Les lèvres d'Anael s'ouvrirent doucement pour laisser un cri inhumain sortir de sa bouche un cri qui raisonna longuement dans l'air alors qu'il accrocha fermement son T-shirt sur son cœur...Il avait mal, tellement mal...Ses yeux ciels furent envahit d'un seul coup de larmes. Larmes qui ne coulèrent pas le long de ses joues. Anael se recula encore une fois alors que tout son corps se crispa sous la douleur. Que ce passait-il ? Pourquoi avait-il aussi mal ? La douleur n'était-elle pas partit quelques minutes plus tôt ? Il ne comprenait pas...Ce qu'il ne comprenait pas c'est que la balance était en train de travailler. Elle avait analysée l'âme, maintenant elle la jugeait. Malheureusement, si Anael ne savait pas comment la guider et comment l'extérioriser, elle ne pouvait que créer douleur. Il tituba légèrement alors que les larmes se mirent à couler le long de ses joues pâles. Son corps se mit à trembler alors qu'il ne bougeait plus, se tordant sous la douleur qui envahissait son corps. Sa main se crispa encore plus sur le bout de tissu qui recouvrait son cœur, il...

Son corps se laissa tomber sur le sol, ses genoux cognant fortement le sol. Il ne sentit pas cette douleur futile. Jamais il n'avait eu mal. La seule douleur qui pouvait le briser était celle que créait son tatouage. Ses yeux ciel se posèrent sur le vampire. Une main se tendit vers celui-ci mais, elle se baissa rapidement, un nouveau cri, moins fort, moins puissant. La douleur venait de partir, il n'avait plus mal il...Sa main relâcha doucement le tissu qui recouvrait son cœur et heurta le sol dans une douleur inexistante. Le souffle court, haletant, il se releva difficilement, titubant légèrement avant de refaire face au vampire. Il lui sourit, comme-ci rien ne s'était passé, comme-ci...

- Où puis-je trouver à manger ?

C'était une question surement ridicule pour cet homme mais, Anael avait faim. Ses mains tremblantes montraient la fatigue. Fatigue qui avait été accentuée par la douleur du jugement. Chose qu'il n'avait pas encore comprit. Soupirant doucement, son souffle se fit plus calme et silencieux. Il allait mieux, la douleur était presque totalement partit. Il priait juste pour ne pas qu'elle revienne, pas maintenant. Pourquoi ? Et bien car si elle revenait maintenant, Anael n'allait surement pas résister, son corps n'était pas encore prêt à recevoir autant de choses en même temps, il devait comprendre sinon, il allait droit à sa perte...

Cet humain était décidemment l’un des plus étranges que le vampire ait jamais vu, même si la plupart d’entre eux finissent vidés de leur sang, ce qui ne laissant que peux de temps pour que le vampire ne découvre les « particularités » propres. Celui-ci hurlait de douleur sans raison apparente, presque au point d’en pleurer. Ces « crises » semblaient le vider de ses forces, et le jeune homme qui s’accrochait a ses vêtements avec force, comme s’ils allaient le protéger, tomba à genoux devant le vampire. Ce dernier n’avait pas esquissé un mouvement, se contentant d’observer les réactions inexpliquées de l’humain à des évènements qui n’avaient lieux que dans son esprit.

Le jeune homme avait d’abord voulut partir en entendant la réponse du vampire, peut-être s’était-il rendu compte du danger dans lequel il se trouvait, en présence d’un vampire. Armand s’était préparé à le stopper, mais la douleur avait repris et avait terrassé l’humain. Maintenant il se relevait faisant comme s’il ne s’était rien passé. Ces aléas de douleur surprenaient le vampire, mais il ne s’en formalisa pas le moins du monde, et il les ignora lui aussi. Il répondit encore au questionnement de cet humain pas comme les autres sur la nourriture :

- Si tu tiens à te nourrir, va aux fermes dans le nord-est de Paris.

C’était assez cruel de la part du vampire que de dire à l’humain d’aller directement s’offrir en pâture dans les fermes, mais il était vrai qu’après tout, dans ces fermes on trouvait de la nourriture pour humain. D’autant plus que cet humain-là ne devait pas connaître la ville. La traverser de part en part serait probablement pour lui rien de plus qu’un arrêt de mort. Et même s’il arrivait aux fermes il ne trouverait rien d’autre qu’une mort certaine pour l’accueillir.

Armand se disait que le prévenir ou non ne changerait pas grand-chose au sort du jeune homme, aussi choisit-il d’informer l’humain :

- Mais je te préviens maintenant, si tu reste dans cette ville, peut importe où tu iras, tu mourras.

C’était une prédiction assez raccourcie, après-tout il y avait d’infimes chances pour que l’humain survive, s’il arrivait à demander asile à Notre-Dame par exemple, mais ces chances de survie deviendraient de plus en plus grandes au fur et à mesure qu’il s'éloignerait de la ville. Ces menus détails ne semblaient pas important aux yeux d’Armand, d’ailleurs il n’avait aucune raison d’informer l’humain sur l’existence de ses semblables dans l’église. Il n’allait quand même pas le protéger, ni lui indiquer le chemin.