{Un}-{ Information Civil }
Nom : Maïlay
Prénom : Morowë
Surnom : Le Faux Manchot…
Age : 22 ans
Groupe sanguin : AB+
Orientation sexuel : Bisexuel mais c’est loins d’être sa préoccupation…
Métier : Forgeron. Il travaille dans sa propre petite forge. Elle porte le nom de « Faux Manchot ». Il en est l’unique forgeron et ses spécialités sont les poignards. Elles sont simples, sans réelles fioritures et c’est ce qui en fait leur beauté. Leur équilibre est toujours parfait, chacune de ses armes est une merveille et elle vaut de loin son prix. Ses armes les plus « perfectionnées » ne courent pas les rues, çà c’est certain, elles sont rares et jalousement gardé par les possesseurs qui ont put s’en procurer une. Celles-ci sont nommées « les armes brunes » et sont marqués de deux anneaux entrelacés avec un petit quelque chose qui prouve leur authenticité mais…chuuut…c’est un secret…
Clan: Garou de l’Once (léopard des neiges)…
Poste dans le clan: Civil…
{Deux}-{ Fiche Mental et Physique }
Description physique : Comme celui de tous ses ascendants son corps est frêle mais pas androgyne. Son allure est légère, pourtant, quand on l’observe, on devine dans ses gestes sa force et son l’agilité. Ses mouvements sont félins et lents, assurés et décisifs. Il n’aime pas faire les choses sans raisons, aucun de ses gestes n’est inutile…
Ses doits fins et délicats semblent faits pour manipuler ses poignards légers et non pas ses instruments de forgeron. Son visage a une forme en pointe et chacun de ses traits est aristocratique. Ses cheveux soyeux tombent entourent son visage, un peu long, coupé en dégradé et d’un ton brun. Elégante et raffinée, sa bouche fine a un ton plutôt pale comme la blancheur éternelle de sa peau. Son nez pique légèrement vers le haut conférant à son visage un petit air hautain qui convient parfaitement à son apparence physique et son visage impassible. Tout ce que son visage et son corps n’expriment pas, ses yeux le font. Ce sont les miroirs de son âme comme certain se plaisent à dire. Ses yeux si expressifs sont vairons, celui de droite est jaune animal, brillant et déroutant rappelant un soleil. Celui de gauche au contraire est plus sombre, plus envoûtant, le vert d’une forêt profonde…
Style vestimentaire : À ce niveau son style ne varie pas trop. Il aime les chemises élégantes aux tons clairs, blanc à beige. Il porte des pantalons noirs légers avec des chaussures simples mais souples. Parfois il a la fantaisie d’enrouler autour de son cou des rubans de velours pour agrémenter ses tenues. D’ailleurs celles-ci se réduisent à çà, il ne craint pas le froid.
A la forge il quitte ses chemises et enfile un tablier de cuir (il a trop chaud sinon)…
Signe particulier : Qu’est ce qui peut plus troubler que ses yeux vairons ? Comment ne pas être dérouté quand on tombe dans une profonde forêt dense et quand même temps on se fait brûler par un soleil de canicule ?
Outre ses yeux son bras gauche a été brûlé gravement, à présent la peau est rosée avec des sortes de veinures blanches. Sa main a été relativement épargnée bien que quelques traces soient visibles sur son dos. Il ne se sert de ce bras que pour forger ou se battre, sinon il reste ballant a coté de lui comme sans vie…
Enfin, son physique n’a strictement rien à voir avec celui d’un forgeron !
Description psychologique « caractère » : Morowë ne possède pas une part animal et une part humaine. Son esprit n’est pas un éternel combat entre ces deux parties. Son esprit a toujours était et sera toujours la symbiose des deux. Il n’est donc ni humain, ni animal. Son caractère est mélange de réaction sauvage et civilisé (montrer les dents, grogner de mécontentement, ronronner –l’once le peut- et à coté être poli, raffiné, et…) …
Il est solitaire et considère sa forge comme son territoire. Les gens ne sont pas les bienvenues dans son « espace vital ». Il n’aime pas la proximité, il repoussera les mains et toutes parties d’un corps trop proche de lui à son goût. Ce n’est pas un blocage du touché c’est juste ainsi. Il aime sa tranquillité et les personnes pourront être plus ou moins repoussées selon son état d’esprit. Cependant il est sensible à quelque « gratouillis », on et un félin ou on ne l’est pas !
Morowë est quelqu’un qui ne se laisse pas porter par ses sentiments. Il reste réfléchie en n’importe quelle situation, pour arriver à le porter sur les nerfs et que ça se voit, il faut vraiment l’asticoter.
C’est une personne très possessive. Celui qui a la mauvaise idée de lui prendre un de ses biens le paiera très cher. En parlant de cher… L’argent a un effet alanguissant chez lui depuis qu’il vit en ville, en gros on peut arriver à l’acheter en faisant tinter une grosse bourse devant son nez (mais il faut s’y accrocher pour le faire craquer complètement). En contre partie, pour arriver à lui faire lâcher son propre argent ce n’est pas non plus une mince affaire…
Héritage familial, Morowë n’aime pas se battre. En cas de combat il peut très bien prendre la fuite s’il juge ses chances de survis trop petites et sa fierté n’en prendra pas un coup. Quand sa vie est en danger ou celle d’un proche il n’a aucun sens de l’honneur des combats ou autres histoires de ce genre. Il peut frapper dans le dos, ruser, manipuler…il se moque du procédé tant qu’il s’agit d’éviter un combat fatiguant et inutile. On ne peut pas avoir confiance en lui tant qu’il n’a pas de lui-même promis son « allégeance »…
Pour finir il n’est pas ouvertement agressif envers les vampires, si on peut dire. Contrairement à certains de ces congénères qui les repousseront toutes dents dehors, lui il les laissera faire bien qu’il sera légèrement plus froid.
Aime/N'aime pas: Morowë reste très contradictoire dans ses préférences, il déteste les grosses chaleurs et les atmosphères étouffantes pourtant il aime se détendre dans sa forge. Il est un peu phobique du feu mais le manipule à longueur de journée. Il désire le silence mais il apprécie les petits bruits qui pour d’autres deviennent vite énervants (par exemple le balancement d’un objet qui en frappe un autre ou une simple goûte d’eau qui tombe). Par contre d’autres choses sont sures, il a en horreur la foule et qu’on vienne l’ennuyer dans son travail. Gare à celui qui aura le malheur de toucher à ses outils…
Plat préféré: Les fruits rouges (des bonbons pour lui) et grignoter des doits…
{Trois}-{ Fiche Historique }
Histoire : Ce fut au commencement, à la première vision du monde par les garous que le premier de sa ligné vit le jour. Lui, cette expérience ratée, se donna un nom, Maïlay…
Les Maïlay sont ses descendants, des garous qui pourraient se dirent « purs », chaque membre de cette famille s’étant choisi pour compagnon un autre garou. Peut-être il y a eu des écarts mais personne ne le sait…
Morowë est l’un des derniers nés. Habituellement, sa famille se contentait d’un enfant ou deux mais ses parents dérogèrent à la règle. Son nombre de frère et sœur monte au nombre cinq. Il a trois aînés, des triplés, un frère cadet et une sœur cadette. Tout ce petit monde vivait avec les parents non loin d’un petit village d’humain où ils avaient hérité de la forge familiale. Ils s’occupaient d’armes bien que principalement ils jouaient aux maréchaux-ferrants. Morowë fut toujours une personne calme, aimant la course et la nature. Il ne s’occupait pas plus que cela du travaille de son père préférant la compagnie de l’aîné, Mécraï. C’était un garou aux cheveux roux dont personne ne se doutait de son secret : il n’avait pas toute son intégrité psychique. Morowë avait découvert cette déficience mentale depuis longtemps cependant il n’avait jamais éprouvé le besoin d’en informer qui que ce soit. Son aîné lui vouait un amour insensé et haïssait toute personne autre que lui. Ce n’était pas visible aux yeux des gens de la famille mais pour Morowë qui le connaissait intimement, il ne pouvait que remarquer ses murmures sans significations, ses regards furieux et cette attitude trop possessive quand il s’agissait de lui…
Le village était sans histoire il n’y avait même pas de disparition. Les Maïlay se procuraient de la nourriture ailleurs et se gardaient bien de dévoiler leur véritable nature. Leur forge était un point de passage des voyageurs qui se trompaient souvent sur la signification des regards gourmands posaient sur eux. Certains les trouvaient étranges, surtout à cause de leurs yeux vairons et de leurs isolements mais ils ne trouvaient rien a leurs reprocher…
Pourtant, ces disparitions dont lesquelles ils n’avaient jamais eu à jaser commencèrent. De temps en temps une personne ne revenait plus et pourtant on ne pensa pas aux Maïlay. Par contre ces derniers s’inquiétaient, car de Mécraï s’échappait l’odeur de sang humain et que le jeune homme n’arrivait plus à réfréner ses ardeurs. Morowë, lui, ne fut pas mit au courant de tout çà se trouvant sur les routes pour livraison et recherche de matériaux pour son père. Quand il revint c’est pour voir une colonne de fumet noire au dessus de chez lui. Cédant pour la première fois et la dernière fois à la panique, il fit quelques choses de très stupide, il rentra dans sa demeure complètement en flammes…
Il fut retrouvé par les villageois le lendemain, à l’extérieur des ruines et le corps partiellement brulé. Fiévreux et gravement blessé, il délira plusieurs jours… A son réveil, il ne se souvenait de plus grand-chose. Dans son esprit endolori il ne voyait que sa famille morte, dévorée par les flammes et pour finir l’image de son frère au-dessus de lui entouré par des ombres noires. Le roux lui demandait de le pardonner et puis plus rien à part la douleur… Tout était vague mais en même temps très précis…Ces images le hantent encore…
Morowë après s’être remit grâce au bon soin de la nourri…villageois, partit rapidement. Il avait faim et être entouré d’humain n’était pas bon pour son humeur. Il s’était vite remit de la perte de sa famille, un peu trop peut-être. Il était juste inquiet pour son frère…
Décidé à vivre à ville pour une raison qui ne lui était pas évidente même anormalement flous, il récupéra les affaires qui avaient survécu à l’incident (seulement la forge) et parti bien vite en dépit de ses blessures…
A présent, il a trouvé sa place dans Paris. En seulement quelques années il a réussit à se forger une réputation chez toute les races (sans mauvais jeux de mots) à coup de pattes et de crocs mais principalement grâce a ses armes. Forgeron taciturne aux armes redoutables qui peut sans problème frapper dans le dos… Il ne donna pas lui-même un nom à sa forge mais c’est les gens en voyant son bras qui le nommèrent lui et sa forge « Chez le Faux Manchot »…
Famille : Mécraï, son frère aîné disparu depuis plusieurs années.
{Quatre}-{ Hors-jeu }
Comment avez vous connu le forum: Pub !
Avez vous lu les règles? Oui? Alors, qu'est ce qui fait pleurer l'admin? : Heuuuu ? ************ oui, c'est à peu près ça. ^^
BONUS, racontez moi une blague: Un schtroumf y court y court y pi y tombe y pi y s’fait un bleu !
Sujet: Morowë Maïlay 
Ven 19 Déc - 17:36
