Llewella Elvgren

Nom : Elvgren
Prénom : Llewella
Surnom : Le vampire n'a pas de surnom, il se fait juste appeler Llewella dans son travail. A qui cela plaira de lui en donner un, le jeune homme se contentera d'un sourire.
Age : indéterminé. Llewella ne se souvient pas du jour de sa naissance, et n'a aucune idée de l'année exacte, à vrai dire, ayant à ses yeux l'éternité devant lui, il s'en contrefiche un minimum. Il doit avoisiner les deux cent ans.
Groupe sanguin : N'a pas de préférence, il se délecte de tous et en savoure chaque saveur.
Orientation sexuelle : Bisexuel.
Métier : Prostitué, modèle à ses heures perdues.
Clan: Vampire.
Poste dans le clan: Favoris du maître et aussi d'un certain nombre de vampires et autres.



Description physique : Llewella a le physique d'un jeune éphèbe dans la pleine grâce de ses petites années. A vrai dire, il est un savant mélange de traits enfantins et de physionomie masculine, et le bougre sait jouer des deux à leur juste valeur. Son visage a garder l'ovale et les quelques dernières rondeurs de l'enfance et ses joues se colorent facilement lorsqu'il fait froid ou lorsque le vampire est en proie à une émotion dépassant son contrôle. Il possède de grands yeux d'un gris anthracite assez expressifs et brillant toujours d'une pointe de malice. Une lueur troublée et peut-être un peu mélancolique voile ces deux orbes perlés lorsque ceux-ci croisent le regard d'un certain vampire. Il a un petit nez mutin et un peu en trompette constellé de tâches de non-rousseur. Sa bouche s'étire toujours en un sourire charmant et ironique et n'est jamais ourlée de franchise. Ses lèvres sont d'un rose pâle à croquer et parfois un peu gercées par le froid. Llewella a des cheveux d'un blanc crémeux où se mêle le gris, et ceux-ci se livrent toujours bataille. Depuis longtemps l'homme a cessé de se martyriser en voulant tirer quelque chose de sa chevelure, il la laisse donc à son gré, des mèches balayant parfois sa vision et allant chatouiller sa nuque. Il a un corps fin et élancé. Selon les périodes, il pourrait paraître maladif à cause de la pâleur de sa peau. Il a un tatouage remarquable se trouvant sous son oeil gauche qui est la copie d'une tablette d'incantation celte à la gloire de l'amour et de ses actes. Il garde cependant sur son corps diverses petites cicatrices dues aux ravages du temps et à sa maladresse terrible.

Style vestimentaire : Malgré ce que l'on pourrait croire, Llewella privilégie les vêtements amples, épousant sa physionomie que rarement. Très frileux et lorsqu'il ne travaille pas, le vampire se permet de jouer à l'ours hibernant en se pelotonnant sous des couches de laine. Sinon, il apprécie les couleurs purpurines, provoquant un contraste avec sa peau et mettant en valeur ses yeux. Il a un certain attrait pour les vêtements de style oriental, lui donnant un aspect irréel et presque féerique de petit lutin sorti de son sous-bois.

Signe particulier : Un tatouage sous l'oeil gauche, les oreilles percées, c'est tout ce qu'il y aurait de particulier chez Llewella.

Description psychologique : Le vampire est un cas. Très séducteur et charmeur dans le cadre de son travail au sein du clan, il est en fait plutôt réservé et timide dans sa vie normale. Calme et très posé, il ne se laisse que peu influencé et dépassé par les évènements et réfléchit toujours avant d'agir. Jamais pris dans les fièvres de son travail, le vampire distingue parfaitement sa vie réelle de sa vie à l'intérieur du clan. Et malgré ses airs froids et plutôt distants, Llewella cache une sensibilité toute petite et qu'il essaye de faire taire. Élevé dans le but de plaire au maître du clan et aux autres vampires, Llewella ne se prive pas de profiter de ses mets avant de les vider de leur sang. Avec un certain sadisme, il adore leur faire miroiter un paradis qu'ils n'atteindront jamais. Avec les vampires, Llewella reste un être distant. Conscient de sa condition d'objet, jamais il n'élèvera un mot contre quelqu'un. Discret et silencieux, il sait pourtant imposer son avis quand il le faut. Et pour cela, il a recours à l'ironie et au cynisme, se servant de cette carapace contre l'extérieur. D'ailleurs, il ne se mêle que rarement aux autres, préférant rester avec lui-même ou vaquant à des occupations professionnelles là où on le demande. Au fond de lui, Llewella éprouve une sorte de vénération pour le maître du clan et est chaque jour très fier d'être son favoris, bien qu'il n'en laisse rien paraître. Au contraire, il aura plutôt tendance à être insolent et charmeur avec celui-ci.
Mais tout cela n'est basé que sur le fonctionnement intérieur du vampire: être en public et être avec lui même.

Aime/N'aime pas: Llewella aime la tranquilité, c'est à dire avoir un sommeil convenable en solitaire ou pouvoir lire un livre sereinement. Sinon, à part le maître du clan, il n'aime pas grand chose, ah si, il aime les parfums un peu capiteux et enivrants et en collectionne dans une magnifique boîte de bois d'if travaillée, et avoir toujours une élégance naturelle et un charme stoïque. Il n'aime pas qu'on le maltraite ou qu'on lui rappelle sa condition. Il ne supporte pas non plus que l'on rôde autour de son maître. Même si dans un sens il n’y peut rien. Il a par contre une certaine réserve quant aux séances de poses qu’il effectue pour Léopold, il est assez pudique hors contexte.

Plat préféré: Aucun met en particulier, il sait se délecter de la beauté, de l'odeur, de la sensation même moindre que procure une goutte de sang.



Histoire : C’est dans les confins chauds et capiteux de la cour des Miracles que Llewella a vu le jour. Ce n’est pas par hasard s’il est à présent courtisan. La mère du garçon était elle aussi une fille de joie, mais n’avait pas une réelle place au sein de la communauté vampirique. Juste une prostituée parmi tant d’autres, sans charme particulier, ni don. C’est d’ailleurs pour cela que la jeune femme n’a jamais réellement fréquenté les hauts lieux de la communauté. Llewella ne connaît pas son père et sa douce maman, prénommée Elohim, ne chercha jamais a attisé la curiosité de l’enfant. Il grandit donc ainsi, avec sa mère et ses passes, lui se cultivant et suivant l’éducation que lui donnait les amies de sa mère ou elle-même. Car ce n’était pas parce qu’elles étaient des courtisanes de bas étages qu’elles n’avaient ni éducation, ni qualité de goût. C’est donc dans les arts et la littérature, saupoudré d’un peu de volupté et d’oisiveté que le petit vampire grandit.

Avec les années, il devint un petit garçon hors du commun par son physique féerique et ses manières exquises. Elohim avait de grands espoirs le concernant. Mais le gardait toujours hors de portée de son propre travail, lui concoctant un petit univers doucereux et naïf. Car même si Elohim était un vampire, son instinct maternel était beaucoup plus fort que ses pulsions. D’ailleurs, à part quelques amies proches, personne ne connaissait cet enfant illégitime. Llewella fut donc formé si l’on peut dire, au métier de courtisan sans que sa mère ne s’en rende vraiment compte. Elle lui inculquait l’art de séduire, de plaire surtout. Elle lui tendait toutes les clés pour devenir un favoris. Car Elohim, malgré tout ce qu’elle avait entendu dire sur les penchants du maître du clan, vouait une adoration presque amoureuse envers lui et transmettait cette passion à son fils, bien qu’encore jeune et ne comprenant pas vraiment les enjeux de telles opinions.

C’est adolescent que Llewella découvrit un peu la vie réelle de sa mère et de ses amies. Bien qu’inquiétée, Elohim crut bon d’en parler enfin à son fils, diamant glacé serti dans un écrin capiteux. Il accepta tout sans réel choc ou hargne. Il était indifférent. La femme lui expliqua alors tous les espoirs qu’elle avait placé en lui, et dans son inconnaissance de tout cela, il accepta le travail qu’elle lui proposa alors. Il fut alors engagé au Moulin Rouge, sous la protection d’une amie de sa mère, L'Aly. C’est pendant quelques années que Llewella « apprit » alors son métier, étant sans cesse rappeler à la condition d’objet, parfois réellement abusé par des clients et clientes trop gourmands. Mais le jeune vampire ne disait rien, dans toute sa grâce et sa langueur.

L'Aly ne pouvant plus gérer l’admiration et l’envie que généraient Llewella, elle fut contrainte d’abandonner son poste de matrone et le jeune homme revint dans le giron d’Elohim plus meurtri qu’elle ne le pensait. Elle l’incita alors à se faire une clientèle plus délicate et recherchée, aux vues de son physique et de ses qualités, elle pensait qu’il en avait largement les possibilités. Vraiment séduit par les suggestions de sa mère, Llewella se constitua alors un « réseau » de clients et clientes plus ou moins réguliers et d’une trempe bien différente. Il avait réussi ce pourquoi sa génitrice avait tant soupirer : atteindre les têtes hautes du clan. Mais Llewella n’était plus aussi naïf. Il avait alors mis sa sensibilité de coté, passant pour un être froid et irréel, faisant sa réputation. Il se mit alors réellement à tirer profit de ses capacités physiques et de son charme pour affirmer son caractère et ses opinions. Il fut alors rapidement écouté et entretenus par ses clients, devenant alors un réel courtisan, consulté pour ses conversations, sa présence et son charme et plus seulement pour ses hardiesses sexuelles. Cependant, il est apprécié pour sa discrétion et son respect d’autrui, notamment par ses silences religieux lors de confidences sur l’oreiller.

C’est une cliente galloise de passage à Paris qui lui fit son tatouage. Llewella n’avait pas résisté à cette charmante proposition, et suite aux galanteries, compliments et baisers de la vampire, il avait cédé promptement, la laissant peindre sur lui « quelque chose représentant son âme ». Quand le vampire eût découvert la reproduction d’une tablette d’incantation et sa signification, il préféra ne pas y penser plus que de raison et de retomber dans son quotidien.

Un de ses clients réguliers fit miroiter en lui la chance improbable de rencontrer le maître du clan. Avec une fierté toute compétitive qu’il avait avec sa mère, il voulut en savoir plus et déchanta rapidement. Bien que le maître appréciât les beaux garçons, il était de notoriété qu’il avait le cœur glacé par des obscures raisons. En fait, celui-ci cherchait juste un modèle pour ses peintures, et le vampire avait pensé à Llewella et sa beauté toute particulière sur le champ. Sauf que le jeune homme avait un gros défaut : être pudique sous les regards hors travail. Avec une certaine appréhension, il accepta alors cette proposition, n’étant déjà pas si mal dans ses objectifs. Après tout, ayant grandi dans cette adoration du maître, il pouvait au moins se satisfaire de cela (bien que le vampire ne connaisse rien à l’amour spirituel et en ignore jusqu’au soupçon, son cœur restant neutre de tout cela).

Il rencontra alors Léopold à l’occasion de plusieurs séances de pose, restant fidèle à sa personne et n’ayant pas la moindre envie de changer d’attitude parce qu’il était le maître. Discret et silencieux, la plus part du temps, Llewella ne parlait que pour répondre et toujours assez succinctement, restant voilé de ce mystère tout particulier et irréel l’entourant. Bien que le vampire avait conscience que sa réputation pouvait le dépasser à tout moment. Ayant un attendrissement sans nom envers le peintre, Llewella s’est mis en tête de se refuser corps et âmes aux peut-être avances du maître, histoire d’avoir une revanche franchouillarde vis à vis de sa condition et des cicatrices et ecchymoses qu’il aura fallu pour en arriver là, n’hésitant pas à provoquer franchement Léopold, tout en restant posé et à sa place d’objet.
Cependant, il travaille à nouveau au Moulin Rouge, en ayant des horaires très souples, histoire de changer un peu de paysage et de voir de nouvelles têtes. Il y va quand on le demande principalement.

Famille: Sa mère Elohim.



Comment avez vous connu le forum: Par une petite fée que j'aime.
Avez vous lu les règles? Oui? Alors, qu'est ce qui fait pleurer l'admin? [/i]: J'ai du les lire et je dirais que ce qui lui fait c’est ****************** oui, aussi !

BONUS, racontez moi une blague: C'est deux steaks hachés qui se promènent dans la forêt. Ils entendent de drôles de bruit et quand le premier steak haché se retourne, il ne voit plus son compagnon. Il stress, il l'appelle, il craque son slip et fait pipi de trouille dans sa culotte quand les bruits reprennent... Et d'un coup, l'autre steak haché lui saute dessus.
Premier steak haché: Mais t'étais où crétin?
Deuxième steak haché: ST'EST CACHééééé!!!
Fin de la blague pourrie.

hoooooo c'est mignooooon!

VALIDÉ

Quelle histoire merveilleuse... Je ne sais que dire... tient, je t'imagine nu, et je pleure de bonheur!

Je me doute, beaucoup m'imagine nu, pour vous ça ne restera QUE des images fictibes fuhuhuh...

Merci